Rencontres Choregraphiques Newsletter
Rencontres Chorégraphiques 2013

LES REALISATIONS
Mon corps, mon lieu 2010
La route du sens
Le corps à l'édifice # 2
Le corps point de vue
Les sisyphe *10
Le corps à l'écriture # 3
Mon corps, mon lieu 2008

Le corps à l'écriture # 3


En 2007, le projet "Le corps à l'écriture" développé par la Maison des Ecrivains et de la littérature, les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis et l’Université de Paris 1 - Sorbonne (Pierre Mendès-France), a été confié à l'écrivain Olivier Apert.

"La force du spectacle vivant contemporain, sous toutes ses formes (théâtre, chorégraphie, performance, etc.) même et surtout lorsqu’elles s’interpénètrent, cette force est bien de nous amener là où nous n’aurions jamais été sans lui ; de nous conduire à sortir des schémas spectaculaires que nous connaissons et, d’une certaine façon, à éprouver des sensations sensibles, visuelles, mentales inédites. C’est un voyage où le corps s’embarque avec l’imaginaire : un voyage empli d’aléas : surprise, découverte, éblouissement tout autant qu’irritation ou perplexité : rien, en tout cas, qui nous laisse indifférents. Et à l’image du voyage à la fois solitaire et collectif, le spectacle contemporain nous offre cette envie d’en parler, d’en débattre, d’en écrire : d’écrire le nôtre.
Cet atelier se proposait de dédoubler le regard : dans un premier temps, nous assistions à une représentation ; au second temps, nous nous retrouvions autour d’un texte que j’avais écrit en écho au spectacle vu. Il ne s’agissait pas d’une illustration, d’une transposition de la scène au papier mais bien plutôt d’un transport de l’émotion qu’il avait suscité, transport en prose ou en poème de la perception. A partir de ces deux éléments conjugués (du corps à l’écriture), nous inventions un troisième texte versant du côté de l’imagination propre de chacun, de la faculté de création métamorphosant les deux palimpsestes…" Olivier Apert



Ces ateliers d'écriture ont donné lieu à des ateliers de lecture et d'enregistrements des textes par les participants. Ces enregistrements ont été réalisé avec la collaboration de Radio Campus.


(243 Ko)
01 : Il rentre sans force (1 : 47)
écrit et lu par Marie-Pierre Rassat


(389 Ko)
02 : Expulsé (2 : 46)
écrit et lu par Léonie De Rudder


(309 Ko)
03 : Rondeur (2 : 11)
écrit par Lou Farell et lu par Virginie Buronfosse


(438 Ko)
04 : La nuit est impossible (3 : 19)
écrit et lu par Virginie Buronfosse


(124 Ko)
05 : Gens ont mal (0 : 46)
écrit et lu par Emmanuel Clesmes


(382 Ko)
06 : 180g (2 : 48)
écrit et lu par Léonie De Rudder


(120 Ko)
07 : Immobile (0 :58)
écrit et lu par Emmanuel Clesmes


(524 Ko)
08 : Les 3 chiens (3 : 35)
écrit et lu par Virginie Buronfosse


(303 Ko)
09 : Desoriente (1 : 51)
écrit par Hélène Causse et lu par Anne-Marie Serre


(237 Ko)
10 : Je veux oublier (1 : 41)
écrit et lu par Marie-Pierre Rassat


(428 Ko)
11 : Samedi (2 : 53)
écrit par Gabriel Villegas et lu par Gabriel Roger


(157 Ko)
12 : Adolescence (1 : 14)
écrit et lu par Léonie De Rudder


(639 Ko)
13 : Pirouette (4 : 44)
écrit et lu par Sophie Vignalou


(762 Ko)
14 : Rendez-vous (5 : 14)
écrit par Mathilde Billaud et lu par Virginie Buronfosse


(311 Ko)
15 : Ligne (2 : 13)
écrit et lu par Cinla Adkere


(180 Ko)
16 : Margarita (1 : 16)
écrit et lu par Roberto Valdovinos


(349 Ko)
17 : Cher toi (2 : 30)
écrit par Johana Myirienda et lu par Emmanuel Clesmes


(440 Ko)
18 : Pornographie (2 : 53)
écrit et lu par Gabriel Roger


(298 Ko)
19 : Lecture (2 : 00)
écrit et lu par Anne-Marie Serre


(415 Ko)
20 : Sentir (2 : 41)
écrit et lu par Cinla Adkere


(194 Ko)
21 : Ville d’une nuit (1 : 22)
écrit et lu par Johana Myirienda et lu par Emmanuel Clesmes


(455 Ko)
22 : Lettre sans réponse (3 : 04)
écrit et lu par Roberto Valdovinos


(201 Ko)
23 : Babel (1 : 22)
écrit par Madeleine Arminjon et lu par Anne-Marie Serre


(220 Ko)
24 : Flamenco (1 : 31)
écrit et lu par Nora Soyer


(390 Ko)
25 : Ne me quitte pas (2 : 34)
écrit et lu par Gabriel Roger


(1.35 Mo)
26 : Partir sans douleur (8 : 33)
écrit et lu par Cinla Adkere






avec le soutien de la Maison des écrivains et de la littérature, le CROUS et le Service de la vie étudiante de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (PMF)